Légale et règlementaire : Certifications professionnelles : vers une régulation plus stricte – pourquoi nous choisissons les meilleurs partenaires
- teafortroyes
- 26 sept.
- 2 min de lecture

L’article de Centre Inffo sur le décret du 6 juin 2025 “Certifications professionnelles, l’ultime régulation ?” illustre parfaitement la montée en puissance de la régulation dans le secteur des certifications professionnelles.
Ce décret, applicable au 1er octobre, marque une étape décisive dans le processus de contrôle initié en 2019 par France compétences. Il renforce non seulement les conditions d’enregistrement et les sanctions en cas de manquement, mais il responsabilise surtout les certificateurs quant à la qualité des actions de formation qu’ils supervisent.
À mon avis, cette évolution est nécessaire et bénéfique pour plusieurs raisons :
Renforcement de la crédibilité des certifications
Les certifications doivent refléter de véritables compétences et offrir une valeur tangible pour les bénéficiaires et le marché du travail. Le décret oblige les certificateurs à démontrer la qualité de leurs parcours, ce qui contribue à sécuriser les apprenants et à renforcer la confiance dans le système.
Responsabilisation des certificateurs
Les nouvelles exigences – preuves tangibles des moyens pédagogiques, contrôle du réseau, conventions de partenariat formalisées – obligent les certificateurs à prendre la pleine mesure de leur rôle. Cela limite les risques de dérives, fraudes ou pratiques inégales, un enjeu crucial pour le CPF et la réputation des organismes de formation.
Alignement avec les démarches Qualiopi
Pour les organismes certifiés Qualiopi, ce décret va dans le sens d’une professionnalisation accrue : il souligne l’importance de documenter les processus, de mesurer l’impact des formations et d’assurer un suivi rigoureux des partenaires et prestataires.
C’est exactement pour cette raison que nous choisissons de travailler avec les meilleurs certificateurs : V Test et Bright. En nous appuyant sur des partenaires reconnus pour la rigueur de leurs certifications, nous garantissons à nos apprenants des parcours de formation fiables, conformes aux exigences réglementaires et véritablement valorisants pour leur développement professionnel.
En conclusion, si certains certificateurs peuvent percevoir ces nouvelles obligations comme contraignantes, elles participent à l’édification d’un marché plus transparent et fiable. Dans un contexte où la qualité de la formation est scrutée de près, cette régulation renforce la crédibilité de l’ensemble du secteur.
Pour ceux qui suivent de près la veille réglementaire Qualiopi, cet article est un rappel précieux de la nécessité de rester proactif et structuré dans la gestion des certifications professionnelles.













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